Faites-vous ces incohérences simples dans Votre Truffes In English ?

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작성자 Layla Gillette
댓글 0건 조회 4회 작성일 24-10-09 13:40

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Bloc était dans ce cas ; on ne jouait à l’Odéon que des opéras mêlés de dialogue. Il seroit trop long de parler ici de la mauvaise qualité de la seve, qui vient du défaut des terres, cette discussion demanderoit un traité d’Agriculture raisonnée ; mais il y a un vice qui rend les plantes stériles dans les meilleurs fonds, c’est quand le suc nourricier devient si gluant, qu’il ne sauroit circuler, ni faire développer les parties qui doivent paroître successivement les unes après les autres. Malgré cette précaution, les oignons qui viennent des Indes ne fleurissent qu’une seule fois dans ce pays-ci, parce que la jeune tige qui est dans le fond de la racine se trouve assez développée avant le transport pour pouvoir s’élever & s’épanouir ; mais après cela le suc nourricier qui devient trop gluant, n’a pas la force de faire développer le jeune embryon qui est dans le cul de l’oignon, & qui ne devoit paroître que dans un an. La squille, l’oignon portant laine, les especes d’aloës, & plusieurs plantes grasses, fleurissent avec beaucoup plus de facilité dans les pays chauds, parce que la terre leur fournit un suc assez maigre, que la chaleur fait couler aisément ; au lieu que dans les pays froids, ce suc est gluant, & devient comme une espece de mucilage, qui ne sauroit faire sortir les tiges du fond de leurs racines

» Heine dit des choses très mordantes et ses saillies emportent le morceau. Pecht raconte ceci : Lorsqu’il peignait le portrait de Heine (entre 1839 et 1841), il leur arrivait souvent truffes de Bourgogne causer littérature, et à cette occasion, Pecht remarqua bientôt que les écrivains et les artistes français intéressaient Heine bien plus que les Allemands, et ce n’est pas sans une certaine suffisance qu’il dit à propos de George Sand, alors à l’apogée de sa gloire : « Nous nous sommes beaucoup aimés jadis et maintenant encore nous nous aimons l’un l’autre. Eh bien, cette nouvelle sortie calomnieuse de Heine contre Dessauer, traîtreusement jointe, on ne sait trop dans quel but, à la réparation quasi sérieuse d’un propos tenu sur Liszt, devait blesser George Sand. Il existe, parmi les racontars des journaux et les prétendues « anecdotes historiques », si recherchées par les feuilletonistes en quête de matières amusantes, une légende qui consiste en ce qu’après la rupture avec Musset, George Sand aurait voulu s’emparer Truffe noire du Périgord cœur de Delacroix et qu’un beau matin elle se serait répandue devant lui en plaintes et en récriminations, espérant attendrir sur ses malheurs le grand peintre, qui jusqu’alors était resté indifférent, quoique absolument cordial envers elle

Mais quant au finale de l’histoire, à ce potin calomnieux de Heine, qui fournit en 1855 matière à une polémique de journaux, au procès entre Dessauer, Saphir et Heine et força George Sand à défendre Dessauer, il nous semble que d’une part, grâce à ces mêmes documents dont usa partiellement et partialement M. Sack (mais sans cette fois omettre certains passages très importants pour l’histoire et très intéressants) et d’autre part grâce aux documents inédits que nous sommes en état de lui soumettre, le lecteur jugera lui-même, et ce jugement, nous semble-t-il, ne sera pas en faveur de Heine. Cette histoire fut plusieurs fois effleurée par la presse et toujours on s’efforça d’expliquer cette rancune par des motifs matériels assez vilains. Dans les quatre volumes de la Correspondance de Heine, nous ne rencontrons pas une seule fois le nom de sa cousine, mais dans les mêmes Lettres à Henri Laube, publiées par Eugène Wolff, nous trouvons à la date du 12 octobre 1850 quelques lignes ayant trait à Mme Sand et qui paraissent assez peu amicales. Elle ne pouvait pas en croire capable son vieil ami Heine

Tous ces faits prouvent, qu’il n’est besoin que d’un suc assaisonné pour faire éclorre & pour rendre sensibles, tant les graines cachées du champignon, que celles de toutes sortes de plantes. La maniere dont on les éleve prouve le sentiment que nous avons embrassé ci-dessus, qu’ils naissent de graines comme toutes les autres plantes. On pourroit diviser les plantes fongueuses en deux sections générales ; l’une renfermeroit les lychen, truffes surgelées & l’autre les champignons : la section des champignons seroit susceptible de deux divisions considérables, dont l’une comprendroit les champignons qui ne portent que des graines, & l’autre ceux qui ont des graines & des fleurs. ’être dans toutes leurs parties d’une substance uniforme, mollasses lorsqu’elles sont dans leur état de fraîcheur, charnues, faciles à se rompre, aussi promptes à venir qu’elles sont de peu de durée, & capables, lorsqu’elles sont seches, de reprendre leur forme & leur volume naturel, si on les trempe dans quelque liqueur dont elles s’imbibent ; caracteres qui tous pourroient se comprendre sous le nom de plantes fongueuses : d’ailleurs elles se font connoître à l’extérieur par une figure si singuliere, que n’ayant ni branches, ni feuilles, ni fleurs pour la plûpart, elles ne ressemblent ni à aucune herbe, ni à aucun arbre

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